Dès son accueil au sein du Roseau vert en 1985, François s’est immédiatement adonné à la peinture, aujourd’hui passion quasi unique. Grand anxieux, la communication lui est primordiale, raconteur éternel, il glisse du verbal à l’écrit mais c’est grâce à ses œuvres qu’il transmet le plus.
Droitier « gauche », adepte d’une peinture primitive, son geste est vif, lourd, spontané. Lorsqu’il entre dans ses œuvres avec grande excitation, il libère ses sentiments refoulés. Il utilise une palette de couleurs qui confère énormément d’originalité à son œuvre.
C’est un boulimique de peinture, un consommateur avide avec une satiété jamais assouvie. Quelque soit la technique ou le support employé, un trait commun surplombe toutes ses réalisations : les hommes à travers le masque.